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            Je n'ose même pas relever la tête. Je regrette d'être venue. On se croirait dans une fiction, comme si l'auteur voulait à tout pris que cet homme rentre dans ma vie, et pour cela il organise des plans machiavéliques pour que je me retrouve toujours nez à nez avec lui -plutôt nez à torse, car je suis toute petite à côté de lui.


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       —  Je vais être collant toute la soirée, à cause de toi, s'énerva-t-il, serais-ce un jeu de mots ? Car je me fais bien à l'idée que je ne pourrais plus me dépatouiller de cet homme.

       —  Je suis vraiment désolé, je n'ai pas fait exprès.

       —  Encore heureux ! Quoi que, je suis sûr que tu l'as fait exprès, tu ne peux pas te passer de moi !

       —  Ah, ah ! Non mais tu blagues j'espère ! J'ai autre chose à foutre que de te rentrer dans le lard, tout ça pour être remarquée.


    -20-

     

           Malgré cette dernière réplique, je ne bouche pas d'un poil et reste à côté de lui sans qu'un mot ne sorte de ma bouche. Kurtis me jette un regard suspicieux, puis reprit sa conversation, que j'avais brusquement coupé, avec ses collègues, dont une ravissante jeune femme. Une jeune femme qui me rendrait presque jalouse, par les yeux doux que lui fait Kurtis et par ses sourire magnifique qu'elle lui rend. Jill ! Tu dis n'importe quoi là !

       —  Tu es encore là ? Me questionna Kurtis, après quelques minutes, voyant que je n'avais pas déraciner.

       —  Tu vois bien que oui ! M'exclamais-je distante, buvant le fond de champagne qui ne s'était pas sauvé de ma flûte.

       —  Tu m'aimes trop, avoue ! Mais je suis déjà pris et cela va surement ruiné ton petit cœur. Ne pleure pas, hein !?

       —  Je suis morte de rire ! J'voudrais bien rencontrer la femme qui peut supporter ton caractère de « merde ». Si cette femme existe...

     

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            Je pensais bien le vexer dans mes paroles, étant à peu près certaine qu'il me racontait des craks. Lui en couple ? À part sa beauté, digne des dieux, il n'a rien pour lui. Laissez-moi rire.

             Mais je me trompais sur toute la ligne ! Kurtis était loin de me mentir ; d'un geste furtif il fit comprendre à la ravissante jeune femme, avec qui il parlait il y a quelques minutes, de venir à nos côtés. Celle-ci s'exécuta sans plus attendre, un grand sourire béa peint sur la moitié de son visage. Une fois à la même auteur que Kurtis, ils s'échangèrent un baiser, un baiser qui m'a paru durer une éternité. À cette vue, je sentis mon cœur faire un bon dans ma poitrine, comme si celui-ci allait tout arracher sur son passage et tomber pour rouler jusqu'au pied des deux amoureux.


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       —  Jill, voici Kristen ! Cette soit disante petite amie inexistante.

            Je reste bloquée. Aucun muscle ne voulait se détendre, même celui de ma langue qui était pourtant bien pendue.

            La seule réaction qui me vient en ce moment, un moment de complète solitude, c'est de dévisager cette jeune femme aux cheveux si blond qu'il en était presque blanc, je suis à peu près sûr qu'elle les teint en blanc. Elle était petite, légèrement plus petite que moi, ce qui la rendait charmante. Elle avait un petit nez froncé qui lui donnait un air enfantin. Des yeux gris bleuté et une poitrine généreuse.

            Cette femme avait à peu près tout pour elle. La vue sur elle que j'avais m'agaçait, la joie de vivre respirait sur son visage et une petite étincelle d'espièglerie brillait au coin de ses yeux. Alors, c'est donc ça le style de femme de Kurtis ? Heureusement que je ne me faisais pas d'illusion et que j'ai blâmer cet homme au lieu de le porter aux nues.


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       —  Enchantée, souris cette Kristen, un sourire tellement magnifique qu'il en est agaçant.

       —  De... De... De..., aller Jill ne déconne pas, un, deux, trois, De même.

            Elle rigola de mon mal à articuler, un rire cristallin et plein de charme. Mon dieux qu'elle m'énerve. Non je ne suis pas jalouse ! Loin de là, mais je ne conçois pas qu'on puisse être parfaite comme ça.

            Un ange passe. Personne ne dit quoi que soit, même Kurtis qui pourtant, d'après les quelques heures que j'ai passés en sa présence, aime faire des remarque cynique dans des situations aussi houleuses.

     

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            Je laisse naviguer mon regard dans cette grande salle, dans l'espoir de trouver Pierrick ou Merryl.

            Et c'est la silhouette de Merryl que j'arrive à distinguer au milieu de la foule. Elle était en compagnie d'un petit groupe de femmes, discutant et riant aisément avec elle, comme si elle s'était retrouvée en présence de grandes amies. Je me demande qu'elle est son secret. Comment fait-elle pour passer aussi bien dans ce genre de soirée ? Comment fait-elle pour s'intégrer aussi vite que ça ? Je la jalouse, j'aimerais tant avoir sa si facile façon de vivre, mais au lieu de ça je suis le jouet du destin qui ne fait que me torturer.

     

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       —  Je vais rejoindre mon amie maintenant, lançais-je les yeux rivé sur mes escarpins, qui faut l'avouer me fait de jolie pieds – osef. Bonne soirée.

       —  Bonne soirée, me sourit Kristen. Dix minutes en sa présence, et dix minutes ou ses lèvres dessines un joli sourire sur son visage, cette fille respire vraiment la joie de vivre.

       —  On se voit la semaine prochaine la naine, aller une petite boutade au passage, je me disais aussi...

       —  Ah oui à ce sujet, je ne t'ai pas vu de la journée aujourd'hui, n'ai-je pu m'empêcher de lui dire, ma curiosité emportant le dessus.

       —  Je savais que je t'ai manqué, rigola-t-il, mais un rire qui ne me parvient pas comme d'habitude, un rire qui me plait, qu'il n'a pas souligné d'exagération, j'avais beaucoup de boulot, plusieurs affaire en cours, donc pas le temps de me promener dans les couloirs, comme toi.

       —  Ok ! Lui répondis-je, sans même relever le petit pique qu'il venait d'envoyer. Bon aller j'y vais. Bonne Soirée !

       —  Oui, Bonne Soirée à toi aussi ! Me lança-t-il à son tour affectueusement.


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       —  Hello ! Rayonnais-je en arrivant tout près de Merryl, souriant aux trois femme avec qui elle était, espérant m'incruster sans problème.

       —  Hey ! T'as vu je me suis trouvée quelques amies.

       —  Oui je vois ça.

       —  Tu ne les connais pas et pourtant ce sont tes collègue, me dit-elle voyant que je ne me sentais pas très à l'aise, donc je vais te les présenter, vu que tu es dans le déni total.

       —  Alors, Maddie, commença-t-elle me désignant la grande brune qui se trouvait à sa droite, euh là c'est...

       —  Riley, l'aida la rouquine, voyant que Merryl n'arrivait pas à remettre le nom de cette jeune femme.

       —  Ah oui ! Désolé j'ai pas eu trop le temps de mémorisé. Et euh, Sarah.

       —  On fait toutes les trois parties du secrétariat au premier étage, enchérit Sarah. Et toi, tu fais parti de quelle branche ? Juridique ou Comptat ?

       —  Pour l'instant je ne suis qu'une stagiaire, donc ils me font découvrir toute la société, mais j'aimerais qu'il m'embauche pour faire partie des notaire, au quatrième étages.

           La conversation dura et s'enrichit avec ces trois femmes ainsi qu'avec Merryl. Grâce à elle je découvre quelques collègues, bien que je ne travaillerais pas sous la même direction qu'elle après mon stage, s'il m'embauche.



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            Après plus de deux ou trois heures, Pierrick, Merryl et moi, nous éclipsions de la soirée, ne demandant notre reste à personne. Des sauvages, voilà ce qu'on est !

           Les quelques, plus ou moins, jeunes femme travaillant au secteur comptât était certes des plus sympathiques, mais elles ne sont pas rester plus d'une demi-heure en notre compagnie. Contrairement à nous, Merryl et moi, ce n'est pas la première soirée de la société où elles font acte de présence. Donc, elles connaissent un grand nombre de leurs collègues, et se sont éparpillée chacune à leur occupation, nous laissant seule, de nouveau.

            Nous en étions donc là, tous les trois, dans la voiture de Pierrick en direction de notre appartement.

     

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       —  Ça va Jill ? Me questionna Pierrick, posant sa main sur ma cuisse.

       —  Oui bien sûr, pourquoi cette question.

       —  Je te trouve bizarre.

       —  Je suis d'accord avec toi l'affreux, rajouta Merryl de sa banquette arrière, depuis qu'on c'est séparé à la soirée, elle est toute bizarre.

       —  Ça n'aurait pas un rapport avec Kurtis ? Tu sais j'ai toujours un oeil sur toi, Jill. Même si toi tu ne me vois pas.

     

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       —  Arrête c'est trop flippant ce que tu lui dis là ! Rigola Merryl qui s'était rapproché de l'espace entre les sièges de Pierrick et moi-même.

       —  Quoi ? J'trouve pas que c'est flippant, c'est plutôt rassurant de savoir que quelqu'un veille sur nous.

       —  Non, pas vraiment. On dirait plutôt que tu es un vieux pervers qui l'épi sans arrêt. Avoir un affreux comme toi, qui est toujours à l'affut de mes fait et geste me donnerais plus froid dans le dos, plutôt que de me rassurer.

       —  Mais cherche pas, petite truite, jamais je veillerais sur toi, ça vos même pas le coup. Pierrick jeta un petit regard dans le rétroviseur intérieur, pour regarder Merryl lui tirer la langue. Pour en revenir à Kurtis, j'ai eu peur que tu le tapes tellement tes yeux reflétaient la haine.

       —  Tu racontes nimp', mon pauvre lardon, rigola Merryl, elle en est dingue de ce mec. Hier quand il l'a aidé à réparer sa voiture elle a eu un déclic, mais elle ne veut pas se l'avouer.

       —  Elle est tombée en panne de voiture ? Et si elle est tombée egalement sous le charme de cet homme ça ne m'étonne pas qu'elle était si mal quand il lui a présenté Kristen, sa fiancée.

       —  Oh la pauvre, il est fiancé, Jill doit être détruite. Mais dit donc t'es au courant de tous dans ton entreprise.

       —  Oui, c'est toi qui m'a initié au commérage, espèce de vipère.

     

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       —  Arrêtez, m'énervais-je, sortant de mon mutisme, je suis encore dans la voiture, je ne sais pas si vous l'avez remarqué. J'en ai marre de vous entendres parler de moi comme si j'étais pas là. Vous entendre raconter n'importe quoi or que vous ne savez rien de ce que je ressens. J'en ai MARRE !

           Ma tirade, terminer par une note aiguë, jeta un froid dans toutes la Ford Fiesta. Merryl et Pierrick s'échangèrent un regard à travers le rétroviseur, puis le silence s'installa.

           Et pourtant, au fond de moi j'ai l'impression qu'ils n'ont pas tort. Ça pourrait sembler vraiment poussé de ressentir quelque chose pour quelqu'un qu'on ne connait que depuis deux jours, mais il faut le vivre pour le croire. Mais je ne sais pas encore comment qualifier ses sentiments, amour ? Haine ? Impossible de dire. Autant ne pas chercher et ne plus prêter attention à cet homme, un homme déjà comblé par une jeune et séduisante femme. Adieu Kurtis ! Deux jours de connaissance, c'était deux jours de trop ! Deux jours qu'il faut effacer dès à présent.

     

    [Les raisons qui font naître ou mourir les sentiments sont souvent les mêmes.

    Janil Tremblay

     

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              __My Speak Box ♥  

     

    Et voilà une deuxième Maj, publier en deux parties --'. Pour plaider ma cause, je dirais que les erreurs fatale en sont pour beaucoup, vraiment beaucoup. J'étais en bonne route dans mon travail, mais quand il a fallu prendre des photos de la soirée, c'était la décatombe. Mettre trop de personnages selectables sur un terrain ce n'est pas bon pour le jeu, moi je vous le dis. J'ai tellement voulu mettre de Figurant sur mes images que le jeu n'a pas apprécier :P. Enfin Bref... Ah et aussi, Harry Potter est un tueur de Maj ! xD. étant donner que j'ai vu tous les films je me suis dit, je vais lire les livres. Trois en deux semaines \o/, c'est pourquoi ma Maj à trainer, elle aurait très bien pu être publié plus tôt, mais bon u_u. Sinon, au lieu de raconter ma vie, qu'avez vous pensé de cette Maj. Il y a eu quelque rebondissement, *esquive une brique* vous n'avez tout de même pas cru que j'allais être gentille avec mes personnages ^^. Et oui dès la deuxième Maj je fais souffrir Jill, a deux reprises :P. Que serait une histoire sans passages sadique, je vous le demande *o*. Bon aller les p'tit loup,  

    Bee-Zoo :).

     

     

     


     

    #Plume Fraise : Merci :D. Kristen, tu la trouve spéciale ? Bizarre, ou pas :P, on verra bien ce qui suivra hé hé !

    #Blondy : Non, elle est pas sortie de la voiture x'D, ça va pas bien blondy, retourne te coucher *conduit blondy dans son lit*. Nah mais, t'insulte mon Kurtis de Crapaud là ? Mais je vais te casser la tronche moi Mdr. C'est vrai qu'en deux Majs on ne peut pas savoir si elle craque ou non, mais si c'est ce que l'on à l'impression, mais il ne faut pas juger trop vite :P. Han ! Mais pourquoi vous trouver toutes qu'elle est louche Kristen, c'est pourtant ce qu'il y a de plus ordinaire, ou pas ^^. A la la come tu dit quand on se met sur les Harry Potter c'est mortel, on décroche plus. Merci pour tes encouragements j'en aurais bien besoin.

    #Sucréomiel : Merci *rougis*. Pour les expression de mes personnages j'utilise deux choses, premièrement les boites de Jaydee disponible pour chaque Add+on -téléchargeable là- (celles-ci propose de nombreuse interaction disponnible dans le jeux et ses add-on sans avoir à les faire faire au sims.Tu dois surement connaitre), et deuxièmement c'est un hack sous forme de tableau -téléchargable ici- (ce hack propose également des interaction, mais lorque le sims prend une pose, l'interraction ce situe simplement sur le visage. Par exemple pour les yeux qui devie, comme sur la dernière photo c'est une pose que je combine avec le hack en sélectionnant listen>pensives. Et tu as toute une panoplie d'expression comme ça.) En fait j'ai pas tant galérer que ça avec le petit monde, puisque j'utilise l'horloge qui freeze le temps -téléchargable à cet endroit- une fois que j'ai choisit une pose ou une interraction à mon figurant je le bloque en faisant freeze Me et je peux donc m'occupper des autres sans que celui la ne bouge. Le seule hic, c'est que Maxi ne taulère pas qu'il y est plus de 16 sims selectable sur un terrain donc vive l'erreur Fatale, donc j'était dans l'obligation de faire par petit groupe pour pas que le jeux ce ferme. Voilà j'ai révélé tout mes secret n_n.

    #Blondy : HAN ! Tu te moque de moi, c'est pas gentil, c'est pas ma faute si les oreiller pu le pied :P. Bah, le temps qu'on arrive à la fin t'auras surement oublier le surnom que t'as donné à Kurtis^^. Qui sais si c'est un ange ou un démon ma Kristen ? *laisse planer le doute*.

    #Yuyu d'Amour : Hi hi ! T'as le droit de craker sur mon sims, c'est une beauté n_n. Mdr "couper son envie de caca" ? o_O. Très bizarre comme expression :p. Yes P&Y-A pour la vie ^^, mais pour l'instant il a un rôle a jouer :). KISS <3.

    #Sucréomiel : J'avais pas vu ton commentaire. Bah derien, j'espère que mon astuce d'aidera bien :). Au plaisir de t'avoir aidé.

    #Aliska : T'es pas morte toi ? J'ai bien cru un instant que je te reverrais plus :P. En tout cas merci *rougis*, si j'ai réussis à te faire rêver avec mon histoire c'est que mon objectif à été remplit. Aller moi je vais lire la fin de ta maj, que j'attend depuis tellement longtemps...

     

    Je continue de répondre 1 ans après --'.

    #o1Roxane : Merci :).

    #Fen. : Contente que ça t'es amusé ;). Désolé si tu étais presser de lire la suite, parce que je vais la publié plus d'un an après, honte à moi :/.

    #Stay : Ah, une fan de Kurtis ! Merci, je m'applique beaucoup sur mes illustrations, j'adore ça autant que j'aime écrire :).

    #Mar!e : Oui je suis un vrai escargot, bon faut dire j'ai pas tout le temps envie de me mettre au sims, donc je préfère faire languire le monde, plutôt que d'écrire une merde sans nom que je bacle. Mais je garde quand même cette histoire active, comme ça quand je le désire je peut publier quand je veux.

    #Emmatom06 : Merci pour tous :D. Ah mon Kurtisou y te plait pas ? :p. C'est sur la barbichette on aime ou on aime pas ^^.

    #Enaya08 : Merci :).

    #Eowyn : J'avoue y a pas beaucoup de rebondissement, mais c'était le temps d'installer l'histoire y tout ;). Par contre je suis désolé, mais tu n'as pas pu voir la suite depuis plus d'un an, ça craind :/.

    #Tite Louloutte : Merci :). Oui le côté gay de Pierrick ça trouble, c'est fait exprès (en fait au début je le voulais gay, mais tout compte fait non ^^) En tout cas j'ai une chose à dire, t'as du flaire ;).

    #Pya : Oh c'est Gentil :). Mdr, oui il va peut être falloir s'en méfier de cette Kristen, qui sait ? :p. Encore une qui n'aime pas la barbichette, mais la masculinité de cet homme réside ici ^^, m'enfin. Oui j'aime être sadique avec Jill, mais t'inquiète y a un moment où elle va réussir à être heureuse, ou pas :p.

    #I am th Best : Han non, si tu met mon Kurtis chérie dans un puis comment je vais faire ? ^^. Ouaip Julyan c'est ma petite fièrté, il est tellement chic mon chéri ;). En tout cas merci :D.

    #Ameely : Contente que mon histoire te plaise :). J'ai hête de pouvoir lire la tienne ;). Ouai, je joue assez sur le côté décalé, une petite pincé d'humour par ci, une autre par là, histoire de sortir un peu du lot, mais je pense que je vais quand même faire des scènes dramatiques, attend il faut pas trop mener la belle vie à ses personnages non plus :p. Ouai j'avoue Julyan, c'est la perfection :p. Je veux bien le mettre de côté pour toi, mais il faut savoir que tu n'est pas la seule sur le coup ^^, et surtout ne l'abime pas hein ! Enfin, je répond oui, ce sont bien les erreur fatale qui me mine et me démotive, mais également un temps de chargement infini, environ 14Go de Dls oblige ><.
     En tout cas, merci de donner ton avis sur ma fiction :).

     

     


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       —  Mademoiselle Pinkett, m'interpella la jeune femme de l'accueil, à peine ai-je franchis le seuil de l'entreprise, lunette de soleil sur le nez et sac à l'épaule, le directeur vous attend dans son bureau pour onze heure. En attendant Monsieur Gregulzki vous a laissé quelques dossiers a photocopier et à disposer dans la salle de réunion.

       —  Encore des photocopies, soupirais-je en avançant pour prendre les deux grosses chemises que la jeune femme avait mis à ma disposition.

       —  Ah ! Si vous saviez le nombre de personne qui se plaigne de faire des photocopies. On pourrait croire que tout le monde fait des photocopies dans cette société.

     

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           Je feints de rire en réponse, je sais bien que ce qu'elle avance n'es dit que pour essayer de me remonter le morale, ni plus ni moins. Faut pas êtres fou, il n'y a que les stagiaires qui font des photocopies, ou même les assistants, je vois mal le boss de la société faire des photocopies.

     

     

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          Photocopié, toujours et encore. ça vaut bien le coup de se taper 4 ans après le bac et passer un Master pour, au final, faire des photocopies toutes la journée, c'est ce qu'on appel le stage. La définition du dictionnaire est a corrigé, on est bien à des années lumières de : « Stage : n.m. Période d'apprentissage, de formation ou de perfectionnement dans une entreprise. » En aucun cas mon stage m'a permis d'apprendre des choses, de me former ou encore de me perfectionner, si ce n'est dans la photocopie. Pourtant, je ne rechigne pas à la tâche et j'exécute les ordres qu'on m'as donné, comme un bon samaritain.

          La salle de réunion était assez grande, mais surtout déserte. Je devais me débrouiller seule pour préparer la salle avant l'arrivée des chefs de chaque section et sous-section, m'aidant des quelques indications, que Mr Gregulsky avait gribouiller grossièrement sur des post-it.

          La tâche s'avéra assez simple, malgré l'écriture désastreuse du « vieux Gregulsky ». Il n'y avait pas besoin d'être une lumière pour savoir composer des dossiers et les déposer autour de la table, afin que chaque personne en dispose d'un.

     

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       —  Vous vous en sortez Mademoiselle Pinkett, me fit sursauter une voix brayarde, ce qui me fit lâcher les quelques photocopies que je tenais en main. Je ne savais pas que je vous faisais un tel effet mademoiselle, rigola Mr Gregulsky en s'approchant de moi. Je me penche très rapidement, pour ramasser les trois feuille qui venait d'atterrir sur le sol, un peu gênée.

       —  Quel humour ! murmurais-je, répugné par l'idée qu'il puisse me faire un quelconque effet, si ce n'est que du dégout.

          Il s'approcha un peu plus de moi, entrant dans mon périmètre de sécurité vitale, son visage se trouvant qu'à quelques centimètres du mien. Il était si près de moi que je pouvais sentir son eau de cologne puante et étouffante.

          Le « vieux Gregulsky » passa ses mains sur les miennes pour finir par attraper une des photocopies que je venais de ramasser. Ce contact, me procura une grande gêne, un sentiment de dégout, une envie de vomir. Il recula un peu pour se plonger dans les papier.

     

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       —  Et combien d'exemplaires avait vous fait de ses papier ? Me demanda-t-il d'une voix mielleuse, une intonation qui n'avait pas le même impacte que lorsqu'une personne de moins de 40 ans l'utilise.

       —  Six de chaque, lui répondis-je luttant contre mon envie de prendre mes jambes à mon coup après l'avoir poussé pour qu'il se fracasse la tête sur la table. Mais je ferais preuve de self-contrôle, pour cette fois...

       —  Il en manque deux alors, souffle-t-il posant violemment les photocopies sur la table, quittant son air de vieux vicieux, pour emprunter celui du patron sévère.

       —  Deux ? Mais vous aviez pourtant écrit six, je lui montre le post-it vert sur lequel était écrit « 6 exemplaires en couleur de chaque document », et la photocopieuse qui fonctionne en couleur se trouve à l'étage en-desous, jamais je n'aurais le temps d'en faire deux autres.

       —  Que voulez-vous que ça me fasse ? Et ce n'est pas un six, mais bien un huit que j'ai écrit là.

           "Si vous écriviez moins comme une treue je les aurais faites ces huit photocopies." C'est bien ce que j'aurais envie de lui dire, mais je me retiendrais par respect, d'une part, et pour ne pas que l'on rompt mon mini-contrat de stage, qui peut-être aboutira à une embauche, d'une autre part. Si je ne veux pas manger des pattes toutes ma vie, évitons d'avoir des ennuis avec la plus grosse société Juridique des États-Unis.

     

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       —  Il vous reste dix minutes avant que tous rejoignent la salle de réunion, donc si vous ne prenez pas l'ascenseur, courez dans l'escalier, espérons que par chance la photocopieuse ne soit pas occupée, vous pourrez enfin remonter dans les temps pour finir les dossiers et les disposer. Ensuite dès que tout le monde sera là, vous vous occuperez d'aller chercher les bouteilles d'eau et gobelet.

       —  Comment je vais ramener tout ça ?

       —  Et bien à la cafétéria il vous donneront un chariot. Si tout cela est effectué assez rapidement, vous pourrez assister à la réunion, sans y participer bien entendu.

           En fait, si je comprends bien, je suis un petit « chienchien » qui doit exécuter les ordres pour qu'il puisse gagner son « susucre ». Sympathique comme stage. N'est-ce pas ?

           J'attrape les dossiers déjà prêt, pour les disposer, m'avançant un peu.

       —  Mais qu'est-ce que vous faites ? Descendez tout de suite faire les dernières photocopies, sinon on ne sera pas dans les temps.

           Comment ça, on ? Il ne fou rien lui, à ce que je saches, il ne va tout de même pas s'approprier les mérites de mon dur labeur, tout de même ! Je me contrôle tant bien que mal pour ne pas lui mettre une droite et attrape un dossier, afin d'avoir tous les papier à photocopié, puis me dirige au pas de course hors de la salle pour aller faire les exemplaire manquant.


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       — Coucou Pierrick ! S'exclama la petite voix de la petite brunette qui répondait au nom de Maddie.

    Pierrick se retourna en faisant pivoter sa chaise de bureau, quittant son écran Dell des yeux, afin de voir qui s'était poster derrière lui pour venir l'importuner dans son travail.

       — Salut Maddie, sourit-il, pas très convaincu lui-même, lorsqu'il aperçut le minois de la jeune femme, ça va ? Lui demanda-t-il desintéresser.

       — Oui, merci et toi ?

       — Ouai... Pierrick lâcha cette affirmation dans un long soupire, estimant qu'il n'avait pas de temps à perdre avec cette jolie secrétaire.

       — Il fait chaud je trouve aujourd'hui, reprit la parole Maddie, voyant que Pierrick se retourne petit a petit vers son ordinateur pour reprendre son travail, il fait tellement beau que ça ne donne pas envie d'être enfermé dans ce grand bâtiment.

       — ...

       — C'est l'heure de ma pause, donc je me suis dit, si j'allais voir Pierrick. Donc voilà je suis là !

       — Et bien moi je ne suis pas en pause si tu veux savoir.

     

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          Cette jeune femme l'agaçais légèrement. Certes il la trouvait très sympathique, mais elle le colle très, même trop souvent et ce sont ces moments qui l'empêchaient d'apprécier cette femme à ça juste valeur.

          Il lui tourne rapidement le dos pour reprendre ses occupations pour lesquels on lui a fournit un salaire assez modeste pour vivre sa petite vie. Ce geste troubla Maddie, la rendant triste de voir à quel point il ne se préoccupait pas d'elle. Et pourtant c'est la seule chose qu'elle désire de lui, qu'il la remarque, qu'elle ne soit pas qu'une simple collègue à ses yeux, elle souhaiterait avoir plus de cette relation, tellement plus. Mais lui n'avait pas l'air de partager cet avis, et ne la considérait pas comme elle le souhaitait.

     

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       — Écoute, s'approcha Maddie, s'accoudant sur le bureau de Pierrick, poussant quelque papier et dossier, j'avais en tête qu'on puisse déjeuner à l'extérieur de l'entreprise. Juste toi et moi dans un petit resto/bar qui n'est qu'à quelque mettre, par cette chaleur il serait bête de rester enfermé dans la cafétéria.

           A ces mots, Pierrick arrêta toute activité et tourna son regard bleu vers Maddie. Elle souriait tellement qu'on aurait pu croire qu'à tout moment ça mâchoire allait se déboiter.

       — Mais tu peux refuser l'invitation, reprit-elle un peu désorienté par l'air un peu dubitatif de son interlocuteur, je te proposais un petit repas entre collègue, ni plus, ni moins.

           Pierrick n'était pas dupe ! Oh que non ! Ce n'est pas la première fois qu'il se fait inviter de la sorte par une femme, qu'elle soit charmante ou non. Il voit très claire en son jeu, et est pertinemment certain que Maddie ne voulait pas d'un repas entre collègue, elle ne lui demanderait pas d'aller déjeuner qu'elle et lui. Mais il n'avait pas réellement envie de se retrouver seule à seule autour d'une table avec elle. Ici c'était différent, il semblait normale de se voir en ce lieu qu'il côtoie quotidienne l'un comme l'autre, mais dans un restaurant...

           En tout cas, cette proposition ne lui disait rien. Il ne voulait pas tisser de lien plus ample avec cette Jeune femme, son coeur battait pour une autre. Mais qui donc, demandez-vous ? Jill Pinkett, bien entendue. La jeune femme qui le considère comme son meilleur ami, rien de plus. Il l'aimait tant, chaque moment passer en sa présence n'est que pure bonheur. Il l'aime depuis tant de temps, il le cache, se le cache, le lui cache. Ses pulsions deviennent de plus en plus forte, il faut qu'il lui dise. Mais il ne fera rien de tout cela, pour ne rien gâcher de leur amitié, mieux vaut être proche d'elle et qu'elle ignore ses sentiments, plutôt que ne plus être à ses côtés.

           C'est un cercle amoureux, qui ne connaitra pas de fin, sauf si lui casse la chaine en décidant d'accorder à Maddie ce petit tête-à-tête et d'oublier ces sentiments qui le rongent.

     

    24

     

       — Hum... Pierrick, tout va bien ? Ça fait cinq minutes que tu ne dis rien.

       — Hein ? Euh oui ! Revint à la réalité Pierrick, après avoir longuement laissé vaguer ses pensées sur ses sentiments.

       — Alors, ça te dit ce déjeuner, ou je peut y aller toute seule comme une pauvre fille abandonner ?

       — Franchement, commença Pierrick réfléchissant une dernière fois sur la réponse qu'il allait lui rendre, ce n'est pas une mauvaise idée on se dit 12h15 devant le pub. C'est lequel d'ailleurs ?

       — Vraiment ? Rayonna Maddie a cette réponse qui lui plaisait énormément, c'est le Osy's Pub dans l'angle de la rue d'en face.

       — Oui je connais. On se rejoind là-bas alors.

       — Ok ! Je te laisse bosser, de toute façon ma pause est fini. À tout à l'heure.

          Maddie ce laissa prendre par ces émotions et embrassa furtivement la joue de Pierrick, avant de partir en sautillant entre les box des comptables.

          Ça y est Pierrick venait de briser ce cercle amoureux en acceptant l'invitation de Maddie. Il caressa ça joue, là ou Maddie venait de déposer un baiser, souriant bêtement. Tout compte fait, cette situation entre cette jolie brunette et lui ne lui déplaisait pas tant que ça.

     
    * Désolé pour la Maj compte goutte :/.
    Mais je voulais essayer une nouvelle façon de présentez mes images.
    Alors j'ai trouvé pas mal de laisser un article de plus ;p.

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